Spécialisée dans la numérisation de photographies depuis 1990 au sein de la société TRIBVN.
Responsable du laboratoire et des différents projets : Vuitton, Van Cleef & Arpels, Cartier, IGN, ECPAD/Armées, BNF, INA, Centre Pompidou, L’EQUIPE …
JEAN M. BABONNEAU | BIOGRAPHIE
photographe I artiste vidéo I http://www.babonneau.com
Artiste franco-nordique né en 1971, Jean M. Babonneau a grandi au milieu de deux cultures du fait de l’expatriation de ses parents français en Allemagne dans les années 70. Revenu en France afin de poursuivre ses études, il bifurqua de ses études scientifiques afin d’entrer à l’école des Beaux-Arts de Nantes (DNAP) où il s’éprendra du potentiel créatif de la photographie. Il sera admis à l’école nationale supérieure de la photographie d’Arles dont il sortira diplômé en 1999. Pendant ses années d’études en Arles, le jeune photographe sera tireur dans la chambre noire de Lucien Clergue et réalisera des tirages d’exposition à partir des négatifs originaux figurant Pablo Picasso, Jean Cocteau et de nombreux nus du maître, co-fondateur des Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Dès la fin de ses études en 1999, son goût pour l’exploration des cultures étrangères emmena Jean M. Babonneau à Reykjavík en Islande, où il commença sa carrière professionnelle en réalisant de nombreux portraits d’artistes et musiciens Islandais pendant plus de 3 années. Il y réalisa un prototype de livre photographique et des installations photographiques et vidéo. L’artiste est fasciné par les possibilités de narration immersive dans un espace rempli d’images et autres média.
Fin 2002, le photographe déménage à Copenhague, au Danemark, continuant ainsi son périple nordique. Il y est encore installé, partageant son temps entre projets d’art (photographie et installations vidéo), ateliers de photographie en tant qu’artiste intervenant et commandes photographiques pour la presse et d’autres clients. Régulièrement son travail inclut également direction artistique (graphisme et web), surtout lorsqu’il s’agit de créer des livres photographiques ou des couvertures d’albums musicaux. Depuis ses débuts professionnels, Jean M. Babonneau n’a jamais cessé de coopérer avec des musiciens en réalisant leurs portraits ou en développant des visuels originaux destinés à accompagner leurs créations musicales.
Depuis 2013, son exploration du Bélarus à travers des visites régulières dans le pays post-soviétique représente aujourd’hui un corpus important d’images qui sera le sujet d’un de ses prochains projets. Voici un reportage TV biélorusse de 2018 présentant JM Babonneau · https://www.youtube.com/watch?v=qEGGqbjnUsI
Plusieurs projets collaboratifs et monographiques sont en cours d’élaboration à cette date : des livres d’art et des expositions. Veuillez consulter son cv sur simple requête.
Le travail artistique de Jean M. Babonneau mélange volontiers les genres puisant tant dans le réel que dans l’imaginaire, avec un goût tout particulier pour les mises en scène nocturnes dans des lieux banals que la nuit, temps onirique, transfigure en espaces empreints d’un mystère éloquent. Ses photographies et installations vidéo tentent sou- vent de nous insuffler une certaine poésie afin de nous faire redécouvrir nos lieux communs, grâce à son œil d’étranger xénophile empli d’une curiosité insatiable. Outre ses images mises en scène, la photographie documentaire compose également une partie de son portfolio, en se consacrant notamment aux cultures nordiques. En 2018, l’artiste a atteint un jalon notable : il a passé la moitié de sa vie en Europe du Nord !
Site web : http://www.babonneau.com | E-mail : babonneau@gmail.com | Tel. +45 26 405 504
Traitement de questions liées à l’urbanisme, l’habitat, la ruralité, la globalisation, aux déplacements et au territoire, au paysage, à la cartographie et aux protocoles géo-photographiques. Les questions écologiques, concernant la biodiversité, les équilibres sociaux-économiques et géo-politiques font l’objet de diverses propositions (projets et commissariat d’expositions) qui viennent nourrir une démarche artistique individuelle soucieuse d’interroger ces domaines. De plus j’enseigne à l’école Supérieure d’Art d’Aix en Provence en qualité d’assistant d’enseignement artistique. En m’appuyant sur la photographie et les nouvelles images, l’édition et l’écriture, mon projet s’inscrit dans une réflexion globale sur l’anthropocène et l’anthropocentrisme, sur les rapports de l’homme avec son milieu, entre artifice et nature. Il se veut cependant ouvert et peut convoquer des liens avec d’autres champs disciplinaires tel que la performance, la sérigraphie, la vidéo ou même le dessin.
Édouard Beau
pratique la photographie documentaire en autodidacte en s’interrogeant sur la condition humaine, les flux migratoires ainsi que leurs causes. Du camp de Sangatte en 2002, au Kurdistan irakien de 2003 à 2006, puisà Mossoul en 2007 avec une unité kurde de l’armée régulière irakienne, il crée des images fixes et vidéos happées au gré des rencontres et des événements. Il installe ensuite un temps d’analyse de ce système chaotique afin d’interroger notre rapport à l’autre, aux médias et au monde, à la croisée de l’analyse géopolitique, de l’engagement humain et de la perception poétique.
En 2009, Searching for Hassan reçoit le prix Premier Film au FID Marseille et le Jury’s Award Film Long au festival de documentaire d’Al Jazeera à Doha, Qatar 2010, en 2012, Searching for Hassan reçoit la Prime à la Qualité du Centre National de la Cinématographie.
En 2011, il est diplômé de l’ École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.
Ayant échappé à l’explosion d’un engin explosif improvisé lors de son séjour à Mossoul en 2007, il réalise durant l’été 2011, un essai photographique et vidéo sur le stress post traumatique des soldats américains vétérans de la guerre d’Afghanistan et d’Irak lors d’un échange avec l’International Center of Photography à New York.
En 2011, il réalise l’Atelier de Création Radiophonique « Irakistan », 59 min pour France Culture. Mossoul/Kurdistan irakien 2008-2011.
En 2012-2013, il parcourt la quasi-totalité du territoire irakien afin de dresser un état des lieux subjectif du pays, il travaille actuellement sur la post-production d’un film sur la question.
En 2013-2014, il était membre artiste de l’Académie de France à Madrid, Casa de Velazquez où il a théorisé l’utilisation de la photographie associée avec le paysage sonore pour traiter de la mémoire d’un conflit. Il créé alors, un système sonore binaural, stochastique, auto-génératif et interactif d’immersion qui interroge la « survivance de l’histoire » dans le temps contemporain en s’appliquant pendant une année à travailler sur la mémoire de la guerre civile espagnole grâce à l’utilisation de nouvelles technologies numériques, dont le logiciel open source Pure Data.
Fin 2014, il documente ensuite le combat des forces kurdes contre l’organisation de l’état islamique, filmant et photographiant pendant quatre mois la vie d’un groupe de soldats sur une ligne de front à 20km de Mossoul.
En 2015, il réalise la Création Radiophonique « Coincés entre la Turquie et daesh, l’impossible départ », 55min, pour l’émission Création on Air de France Culture. Rojava, Syrie.
En 2016, il expose à la Fondation Manuel Rivera Ortiz, Arles.
En 2016, il réalise le ciné-tract « Archéologies et mémoires d’empires », diptyque sur la mémoire, une commande du festival Hors Pistes du Centre Georges Pompidou.
Aujourd’hui il continue ses recherches en mettant l’Homme au centre de ses préoccupations, à la croisée entre journalisme, poésie et photographie documentaire, paysage sonore 3D, création radiophonique et réalisation de films.
pour voir le travail photographique avant 2010 : http://onotad.free.fr
professeur a l’ENSP, Arles, à partir du mois de mars 2017 ;-)
Née en 1979, Adeline Keil a grandi dans plusieurs régions de France.
Elle vit aujourd’hui entre l’Amérique Latine et la Normandie.
Elle est diplômée en 2004 de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.
Son Travail est présenté dans de nombreuses expositions au au sein de différents centres d’arts en France et à l’étranger.
En 2000, Elle reçoit le prix Ilford.
En 2004, Elle reçoit le prix Européen de la FNAC, suivi du Prix Gras-Savoie aux Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Elle est Soutenue à plusieurs reprise par l’institut Français et la DRAC de Basse – Normandie.
En parallèle de sa pratique artistique, elle enseigne à l’école Supérieure des Arts et médias de Caen ou elle occupe un poste d’enseignante chercheuse au sein du laboratoire de recherche « déplacer la terre / Un inventaire des bords ».
Le travail d’Adeline Keil revendique un lien fort avec la photographie documentaire, tout en s’inscrivant dans des protocoles qui s’en éloignent radicalement.
Elle s’attache aux traces d’un événement , à ce qui ne peut se saisir frontalement pour des raisons historiques ou autres, et dont elle capte les marques et les réverbérations dans le monde d’aujourd’hui : Les traces de l’aprés guerres en l’Ex-Yougoslavie, les femmes Mayas qui exercent le service sexuelle suite d’un génocide, la nudité qui se gère différemment d’un pays à un autre, l’ouverture du territoire de Cuba aux américains..
Elle travaille en immersion, sur de longues périodes allant de 3 mois à 1 an et demi sur place, afin d’acquérir une connaissance géopolitique, sociale et économique des territoires et lui permettant par la même de créer une relation intime avec les personnes qu’elle photographie. Elle continue de travailler en argentique.
Sa dernière recherche Life’s Bugs interroge et met en exergue notre rapport à la temporalité. Il questionne l’instantanéité du médium photographique, en utilisant les nouveaux outils de communication, elle donne à son travail un écho architectural.
Elle aborde ses sujets de manière indirecte, et les construit comme de véritables essais. Ils prennent place dans un projet général plus large, qu’elle nomme :
« Petits Désordres du Monde ».
Je travaille principalement pour de grandes entreprises, des agences évènementielles et de communication.
Mes principaux clients sont: Edf, Sanofi, Ipsen, Agence Egg, Ramsay Générale de Santé, La Philarmonie de Paris,
La Société Générale.
Jean-André Bertozzi, auteur photographe, né en 1969 et formé à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles.
Président fondateur de l’AAENSP (Association des Anciens de l’ENSP d’Arles).
Il poursuit une recherche artistique sur ce qu’il nomme « le documentaire poétique ».
Multipliant les séries d’images, il s’attache à trouver, dans le proche ou le lointain, cette poésie qui se cache dans la banalité du quotidien.
Pour lui, la photographie sert à se mettre en dehors du temps, pour reconsidérer l’espace.
Il réalise, depuis plus de quinze ans de nombreuses expositions en France et à l’étranger.
Ses images sont régulièrement publiées dans des catalogues d’exposition, ou dans des ouvrages monographiques (éditions actes sud, éditions Thierry Magnier…).
Dans le désir de faire partager sa passion de l’image en général, et de la photographie en particulier, il enseigne la photographie et son histoire auprès de différents publics en France et à l’étranger.
Dans le cadre de ses travaux dans le domaine de la pédagogie de l’image et outre les cours théorique, il anime depuis 1997 des ateliers de pratique artistique en milieu scolaire.
Il occupera le poste de responsable pédagogique au Centre Méditerranéen de la Photographie à Bastia de 1999 à 2006. Dans le cadre de cette fonction, il animera de nombreuses formations en formation initiale, et publiera plusieurs articles dans des revues d’ingénierie éducative (CNDP – SCEREN, Actes de colloque CRDP Bourgogne, CRDP Corse) sur les pratiques photographiques en milieu scolaire.
Faisant suite à une résidence d’artiste avec Ilan Wolf, dont il sera l’assistant, il fait entrer l’usage du sténopé dans ses ateliers de pratique artistique.
Il est depuis plus de quinze ans intervenant en video(écriture, realisation, montage) auprés des sections de cinema et audio-visuel au lycée Giocante de Casabianca à Bastia, et aussi depuis six ans Animateur de stages en video auprès des détenus et responsible du Canal Vidéo du CD de Borgo.
Il travaille de façon régulière pour des musées et institutions muséales, ainsi que pour différents services de l’inventaire et du patrimoine (Musée de Bastia, Musée de la Corse-Corté, DRAC PACA, FRAC de Corse, Service du Patrimoine de la ville d’Arles…), pour l’inventaire des collections et l’édition des catalogues.
Artiste visuel, Aliette Cosset se passionne pour la totalité, l’envers et l’endroit des projets. Présente à la création du festival Voies Off des Rencontres d’Arles, elle y conçoit des projections et des soirées expérimentales jusqu’en 2006. Elle rencontre la compagnie Ilotopie en 1991, avec qui elle explore des scénographies d’image, projections sur écran d’eau, installations flottantes … Elle s’implique dans des aventures collectives telles qu’Amalgamix, la Bête Curieuse, Hors Lits, le 3BisF ; et des festivals comme les Envies Rhônements, les Rencontres de Bamako, les Chemins du Regard, le Salon Urbain de Douala, le festival de l’Oh! et des résidences d’artistes. En Camargue ou au Mali, au Cameroun comme au Laos, son travail interroge le statut de l’image, dans sa représentation et sa monstration.
Vit et travaille à Alexandrie Égypte.
Diplômé en archéologie à l’université Paris I puis de l’ENSP en 2013
Assistant ingénieur du CNRS, responsable du service photographique du Centre d’Études Alexandrines-USR 3134.
Photographe diplômée de l’Ecole Nationale de la photographie d’Arles, Pauline Daniel a réalisé de nombreux documentaires d’auteur à l’étranger, répond en France à des commandes publiques et réalise régulièrement des portraits de territoire de différents Parcs Naturels.
La création d’un studio photographique lui permet de reprendre l’un de ses domaines d’expresssion privilégiées ; la photographie culinaire. Profondément imprégnée par ses études artistiques, elle s’empare du genre avec créativité et l’emmène parfois loin de ses codes figés par un certain académisme. Cette part créative l’’amène également à travailler pour des joailliers ou des designers qui cherchent à obtenir une image vivante et originale de leurs univers.
Elle est distribuée par le réseau Picture Tank dans la presse française et internationale et son travail artistique a fait l’objet de nombreuses publications
Après la 2D, je m’amuse sur les terrains archéo avec la 3D par le biais de la photogrammétrie. J’essaye d’élargir les procédés pour du portrait 3D de tatoués avec un projet sur le Hellfest … Mais ce n’est encore qu’un projet …
Né en 1988. Steven Daniel est diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Photographie en 2014. Il effectue une résidence à l’International Center of Photography à New York en 2012. Il à été sélectionné par Olympus pour exposer dans le programme des Rencontres d’Arles 2014, une rencontre photographique avec Denis Rouvre.
On peut consulter ses réalisation sur : http://www.stevendaniel.fr
Diplômé d’architecture, Teddy Seguin se consacre à la photographie à la sortie de L’ENSP. Il réalise de nombreux reportages dans lesquels il explore de façon récurrente les univers clos et isolés, d’un navire de pêche en mer de Barents ou d’une mine d’uranium dans les steppes Kazakh. Ses sujets documentaires sont régulièrement publiés dans la presse nationale et internationale.
C’est en Corse où il a vécu plusieurs années qu’il observe la manière dont l’île peut façonner les tempéraments. Cet intérêt s’accroit lors de son séjour à Saint Pierre et Miquelon où sa recherche s’oriente sur l’insularité dans un territoire aux antipodes de l’île de beauté.
En Centrafrique, où il s’installe en 2006, ce questionnement se poursuit par ses reportages sur Les microcosmes des campements de chasseurs-cueilleurs pygmées en forêt équatoriale. Il y réalise également une commande pour le Monde Magazine sur les milices d’autodéfenses Peul dans le nord du pays.
A partir de 2010, il s’investie dans des séries personnelles sur l’insularité, qui devient le fil rouge de son travail avec le projet Insulae. Si les frontières qui séparent les “insulaires” du reste du monde se résorbent à l’ère du numérique, l’isolement qu’il soit géographique, social ou culturel façonne des caractères forts et singuliers sur lequel il s’attarde dans ces dernières séries comme Outport ou la Natividad. Insulae est un cycle en cours qui englobe ces différents travaux.
Mon travail photographique débute lors de mes participations aux stages à Arles pendant les rencontres de la photographie en 1979, le reportage avec Jean Mohr, l’année suivante, le portrait comme dialogue avec Georges Tourdjman, Sortilège de la couleur, avec Jay Mazel, l’oeil au féminin avec Kate Carter et le livre photographique avec Katherine Tweedie. En 1983, je rencontre Serge Gal, il me forme aux techniques de zone-système en noir et blanc et couleur. Au cours l’année 1986, un nouveau stage à Arles, le photo-journalisme avec Yann Morvan, puis une formation aux techniques de laboratoire, tirages et virages avancés en noir et blanc, avec Denis Brihat chez lui à Bonnieux. En 1992, je signe un contrat de diffusion de mon travail d’illustration, avec l’agence Ernoult-Features, ce contrat est étendu a l’agence Image-Bank en 1996. Depuis 1999, je suis représenté par l’agence de presse SIPA-PRESS. En juin 2012, de retour à Arles, je réalise ma soutenance à l’ENSPA par un parcours VAE et j’obtiens le diplôme.
Mon écriture photographique se nourrit de mon quotidien proche, intime, c’est dans cette trame que s’inscrivent mes images, l’étrange étrangeté du monde et de l’autre me touche profondément, l’altérité est au coeur de mon travail d’auteur, je travaille ce concept d’intime-extime énoncé par l’écrivain Michel Tournier.
Il y a longtemps que j’ai pris l’habitude de noter non seulement les étapes et les incidents de mes voyages mais les événements petits et grands de ma vie quotidienne, le temps qu’il fait, les métamorphoses de mon jardin, les visites que je reçois, les coups durs et les coups doux du destin. On peut parler de «journal» sans doute mais il s’agit du contraire d’un «journal intime». J’ai forgé pour le définir le mot «extime».
Mon travail photographique se présente sous la forme de mini-séries ou collections que j’appelle déambulations-visuelles, elles sont composées d’images que je peux définir comme nature morte vivante au même titre que le portrait ou le paysage, c’est ce basculement qui m’intéresse particulièrement, je ressens souvent plus de vie dans un objet qui semble inerte, que dans une scène de vie, qui par l’essence même du médium, n’est déjà plus. J’applique mon principe de déambulation visuelle sur tout nouveau territoire, et comme dans mes collections, Sur les pas d’Ulysse, je crée cette rencontre qui questionne ce nouvel espace pratiqué.
Je pré-visualise et vois l’image-tirage que je veux obtenir et par l’usage d’un noir et blanc plus subtil, je suis au coeur de mon propos.
La couleur n’est pas étrangère à mon travail, mais je la réserve à des sujets plus graphiques et souvent dans son usage monochrome ou mono couleur et de tons fondus, un peu comme dans une peinture ou seul un pigment compte pour dire le sujet.
Vidéaste dans le secteur culturel (centre culturel Charlie Chaplin, compagnie de théâtre, danse, captation). WebDesign conception et réalisation de sites internet (secteur de la photographie et corporate, capgemini, veolia, arianespace)