Né en 1988. Steven Daniel est diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Photographie en 2014. Il effectue une résidence à l’International Center of Photography à New York en 2012. Il à été sélectionné par Olympus pour exposer dans le programme des Rencontres d’Arles 2014, une rencontre photographique avec Denis Rouvre.
On peut consulter ses réalisation sur : http://www.stevendaniel.fr
“Vers une conscience du monde, c’est devenir pleinement spectateur de
la vie, sentir et ressentir le flux du temps, lire et vivre les scènes qui défilent
devant nous, contempler la beauté sans cesse en mouvement, en
construction et destruction. Jouir de toutes ces sensations puis figer ces
émotions en un seul clic…”
Frédéric Desmesure aime cette définition possible de sa pratique de photographe
qu’il applique à la fois dans sa production d’auteur (série: “Urbains
ordinaires”, dans différentes villes Européennes ou “And the wind
cries” à Hiroshima et Fukushima) mais aussi le plus souvent possible
dans les commandes pour la presse nationale, le domaine culturel ou la
photo d’architecture.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en
1991, promotion Charles Nègre (un photographe contemporain de Félix
Arnaudin), il est membre de l’agence Signatures à Paris. Il a participé a
divers résidences d’artistes : « Mécanismes pour une entente» projet Européen
en 2013, «Ecritures de Lumière»un projet de Crarc et du Frac en
2011/12 ou « Interférences Hongroises » en 2009, projet franco-hongrois.
Vidéaste dans le secteur culturel (centre culturel Charlie Chaplin, compagnie de théâtre, danse, captation). WebDesign conception et réalisation de sites internet (secteur de la photographie et corporate, capgemini, veolia, arianespace)
COLLECTIF : FAVRET-MANEZ
Je développe depuis une vingtaine d’années, avec Patrick Manez, une œuvre photographique sur l’espace public façonné par son histoire et ses usages.
Notre travail se déploie aussi bien sous forme d’expositions que de livres:
Alexandrie / Editions Hazan –
Rotterdam / Editions Anonymes –
Montreuil paysage public / Editions du Musée de l’Histoire vivante –
Les arpenteurs / Editions Loco / A paraître en septembre 2014 / Appel à participation, préachat :
Je suis né en France. Je suis venu à la photographie après avoir étudié la Biologie et la Botanique.
J’expérimente la photographie sous toutes ses formes depuis cette époque. Je construis de nouvelles images qui interrogent le réel dans des mises en scène qui ne se donnent pas à voir. (chrisglaudel.com)
J’ai vécu à Berlin, au Maroc et à Arles. Ces lieux ont été de puissants catalyseurs d’envie et d’énergie dans ma pratique photographique.
Je vis et travaille actuellement à Paris. Et ailleurs.
Les cours que je dispense dans le cadre de la formation continue sont à destination des adultes.
Parmi mes récents clients dans le domaine de la photographie et la vidéo, on compte la Maison Goyard, L’Oréal Luxe, Casa de América – Madrid, La présidence de la République française, USM, Prestaliss, Le Groupe MARCK…
(je copie-colle ma bio d’usage, n’hésitez pas à m’envoyer un ptit mail si vous avez des questions!)
J’ai grandi dans le nord de la France, et ai ensuite étudié l’estampe et le dessin à l’ École Supérieure d’Art et Industries Graphiques (ESAIG) ESTIENNE à Paris puis la photographie à l’ École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles (ENSP).
J’observe la condition humaine par le prisme d’une approche scientifique mêlée à l’observation de l’intime. En 2011, la série « Cahier de doléances », exposée lors des Rencontres d’Arles, a reçu le prix du jury des Boutographies et la Bourse du Talent décernée à la BnF. Elle a par la suite été présentée dans diverses festivals photo comme celui de Phnom Penh au Cambodge, ou encore à Kaunas en Lituanie et exposée par la galerie du Magasin de jouets (Arles), AK* (Luxembourg) et la galerie Immix (Paris).
En 2013, c’est « Preuves objectives I: notes sur l’attraction » qui est présentée pour la première fois en Chine lors d’une exposition au Lianzhou foto festival. Cette année 2014 s’est ouverte avec un article d’Étienne Hatt dans la revue Artpress et une exposition personnelle à Berlin (EXP12). Je travaille actuellement à l’élaboration d’une série en trois tomes intitulée « Les Survivalistes ».
Bio.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 1996, je partage mon temps entre le développement d’un travail artistique et des commandes institutionnelles. En 1998, une mission
du CNRS m’intègre aux recherches du Centre Franco Egyptien d’Etudes des Temples de Karnak. Depuis, en tant que photographe professionnel, j’ai a collaboré à de nombreux projets en lien avec le paysage et l’architecture. Avec le paysage, c’est à travers la mise en place d’observatoires photographiques, le dernier en date en partenariat avec le Parc naturel régional du Haut Languedoc. Pour l’architecture, les collaborations concernent des reportages, mais aussi des interventions au sein d’études, de réflexions éditoriales.
Une collaboration durable est également construite avec divers musées et lieux d’art contemporains. Prises de vues en photographie dite appliquée ou photographie de commande, commissariat d’exposition, conseil scientifique, expertise et numérisation de fonds patrimoniaux, interventions pédagogiques.
Habitant la région de Sète, mon travail de création est nourri par l’observation de la nature, l’architecture, le paysage.
Née en 1979, Adeline Keil a grandi dans plusieurs régions de France.
Elle vit aujourd’hui entre l’Amérique Latine et la Normandie.
Elle est diplômée en 2004 de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.
Son Travail est présenté dans de nombreuses expositions au au sein de différents centres d’arts en France et à l’étranger.
En 2000, Elle reçoit le prix Ilford.
En 2004, Elle reçoit le prix Européen de la FNAC, suivi du Prix Gras-Savoie aux Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Elle est Soutenue à plusieurs reprise par l’institut Français et la DRAC de Basse – Normandie.
En parallèle de sa pratique artistique, elle enseigne à l’école Supérieure des Arts et médias de Caen ou elle occupe un poste d’enseignante chercheuse au sein du laboratoire de recherche « déplacer la terre / Un inventaire des bords ».
Le travail d’Adeline Keil revendique un lien fort avec la photographie documentaire, tout en s’inscrivant dans des protocoles qui s’en éloignent radicalement.
Elle s’attache aux traces d’un événement , à ce qui ne peut se saisir frontalement pour des raisons historiques ou autres, et dont elle capte les marques et les réverbérations dans le monde d’aujourd’hui : Les traces de l’aprés guerres en l’Ex-Yougoslavie, les femmes Mayas qui exercent le service sexuelle suite d’un génocide, la nudité qui se gère différemment d’un pays à un autre, l’ouverture du territoire de Cuba aux américains..
Elle travaille en immersion, sur de longues périodes allant de 3 mois à 1 an et demi sur place, afin d’acquérir une connaissance géopolitique, sociale et économique des territoires et lui permettant par la même de créer une relation intime avec les personnes qu’elle photographie. Elle continue de travailler en argentique.
Sa dernière recherche Life’s Bugs interroge et met en exergue notre rapport à la temporalité. Il questionne l’instantanéité du médium photographique, en utilisant les nouveaux outils de communication, elle donne à son travail un écho architectural.
Elle aborde ses sujets de manière indirecte, et les construit comme de véritables essais. Ils prennent place dans un projet général plus large, qu’elle nomme :
« Petits Désordres du Monde ».
Je travaille principalement pour de grandes entreprises, des agences évènementielles et de communication.
Mes principaux clients sont: Edf, Sanofi, Ipsen, Agence Egg, Ramsay Générale de Santé, La Philarmonie de Paris,
La Société Générale.
Camille Lorin est diplômée de l’école des beaux-arts de Marseille en 2002 et poursuit ses études à l’école nationale supérieure de la photographie d’Arles.
Elle obtient son diplôme en 2005 et part vivre une année au Canada où elle côtoie différents milieux artistiques.
Elle a exposé à la galerie Placido à Paris, à l’écume du jour à Beauvais, pour la nuit de l’instant à Marseille, à Arles, pour la manifestation Voir la nuit 2010, à l’Histoire de l’œil à Marseille.
Ses vidéos ont été présentées dans différents festivals en France, en Grèce et au Québec.
En 2007, Lucien Bertolina lui propose de travailler avec lui sur une installation, La sonorité d’un texte, pour la galerie Red District à Marseille.
En 2012, elle signe une vidéo pour le compositeur Frédéric Kahn sur sa pièce Geneigte Schatten.
En 2012-2013, elle est accueillie aux grands terrains à Marseille dans le cadre d’une résidence et présente deux installations pour les actes-en-silence en mai 2013 à la piscine Frais-Vallon, événement organisé par le labelm.
En 2014 elle expose au Château de Servières à Marseille.
Parallèlement, elle s’engage dans un travail de création vidéo avec différentes compagnies de théâtre, collectifs ou artistes.
En 2002, elle crée deux vidéos pour le collectif Phosphene.
Elle travaille régulièrement avec le collectif d’artistes le nomade village à Marseille tant sur leurs créations entre la France et l’Italie que sur les différents ateliers qu’ils mènent auprès des collèges.
Elle a également collaboré à plusieurs reprises avec le théâtre du Centaure, notamment sur les tournages de Flux à Marseille, en Camargue ou à Istanbul.
Elle a réalisé la création vidéo d’Hydrogen jukebox, un opéra de Philipp Glass mis en scène par Joël Jouanneau à Nantes en 2009.
Depuis 2009, elle travaille avec la compagnie Du zieu. Elle crée les vidéos de plusieurs spectacles : Victoria, dernière pièce de la trilogie Les Suppliantes, Révolution(s) dans le cadre d’un atelier dirigé par Nathalie Garraud au théâtre de l’Odéon à Paris, Notre jeunesse, qui a été créé à Marseille en janvier 2013 et dernièrement L’avantage du printemps, créé à Bagdad en novembre 2013. Elle a par ailleurs réalisé des films qui retracent le travail et les recherches de la compagnie pendant deux années.