Mon travail photographique débute lors de mes participations aux stages à Arles pendant les rencontres de la photographie en 1979, le reportage avec Jean Mohr, l’année suivante, le portrait comme dialogue avec Georges Tourdjman, Sortilège de la couleur, avec Jay Mazel, l’oeil au féminin avec Kate Carter et le livre photographique avec Katherine Tweedie. En 1983, je rencontre Serge Gal, il me forme aux techniques de zone-système en noir et blanc et couleur. Au cours l’année 1986, un nouveau stage à Arles, le photo-journalisme avec Yann Morvan, puis une formation aux techniques de laboratoire, tirages et virages avancés en noir et blanc, avec Denis Brihat chez lui à Bonnieux. En 1992, je signe un contrat de diffusion de mon travail d’illustration, avec l’agence Ernoult-Features, ce contrat est étendu a l’agence Image-Bank en 1996. Depuis 1999, je suis représenté par l’agence de presse SIPA-PRESS. En juin 2012, de retour à Arles, je réalise ma soutenance à l’ENSPA par un parcours VAE et j’obtiens le diplôme.
Mon écriture photographique se nourrit de mon quotidien proche, intime, c’est dans cette trame que s’inscrivent mes images, l’étrange étrangeté du monde et de l’autre me touche profondément, l’altérité est au coeur de mon travail d’auteur, je travaille ce concept d’intime-extime énoncé par l’écrivain Michel Tournier.
Il y a longtemps que j’ai pris l’habitude de noter non seulement les étapes et les incidents de mes voyages mais les événements petits et grands de ma vie quotidienne, le temps qu’il fait, les métamorphoses de mon jardin, les visites que je reçois, les coups durs et les coups doux du destin. On peut parler de «journal» sans doute mais il s’agit du contraire d’un «journal intime». J’ai forgé pour le définir le mot «extime».
Mon travail photographique se présente sous la forme de mini-séries ou collections que j’appelle déambulations-visuelles, elles sont composées d’images que je peux définir comme nature morte vivante au même titre que le portrait ou le paysage, c’est ce basculement qui m’intéresse particulièrement, je ressens souvent plus de vie dans un objet qui semble inerte, que dans une scène de vie, qui par l’essence même du médium, n’est déjà plus. J’applique mon principe de déambulation visuelle sur tout nouveau territoire, et comme dans mes collections, Sur les pas d’Ulysse, je crée cette rencontre qui questionne ce nouvel espace pratiqué.
Je pré-visualise et vois l’image-tirage que je veux obtenir et par l’usage d’un noir et blanc plus subtil, je suis au coeur de mon propos.
La couleur n’est pas étrangère à mon travail, mais je la réserve à des sujets plus graphiques et souvent dans son usage monochrome ou mono couleur et de tons fondus, un peu comme dans une peinture ou seul un pigment compte pour dire le sujet.

Spécialisé dans la prise de vues de sites et bâtiments. Extérieurs et intérieurs. Inventaires du patrimoine. Reportages industriels.
Mise en place de bases d’images pour consultation et stockage en ligne.
Nombreuses références dans le domaine industriel.

Je suis photographe auteur travaillant à Paris.
Je m’occupe de photographie documentaire et reportage.
Je suis engagée dans la formation et je crée des modules d’approfondissement sur la photographie et la vidéo adaptés aux différents publics.


(je copie-colle ma bio d’usage, n’hésitez pas à m’envoyer un ptit mail si vous avez des questions!)
J’ai grandi dans le nord de la France, et ai ensuite étudié l’estampe et le dessin à l’ École Supérieure d’Art et Industries Graphiques (ESAIG) ESTIENNE à Paris puis la photographie à l’ École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles (ENSP).
J’observe la condition humaine par le prisme d’une approche scientifique mêlée à l’observation de l’intime. En 2011, la série « Cahier de doléances », exposée lors des Rencontres d’Arles, a reçu le prix du jury des Boutographies et la Bourse du Talent décernée à la BnF. Elle a par la suite été présentée dans diverses festivals photo comme celui de Phnom Penh au Cambodge, ou encore à Kaunas en Lituanie et exposée par la galerie du Magasin de jouets (Arles), AK* (Luxembourg) et la galerie Immix (Paris).
En 2013, c’est « Preuves objectives I: notes sur l’attraction » qui est présentée pour la première fois en Chine lors d’une exposition au Lianzhou foto festival. Cette année 2014 s’est ouverte avec un article d’Étienne Hatt dans la revue Artpress et une exposition personnelle à Berlin (EXP12). Je travaille actuellement à l’élaboration d’une série en trois tomes intitulée « Les Survivalistes ».
Spécialisée dans la numérisation de photographies depuis 1990 au sein de la société TRIBVN.
Responsable du laboratoire et des différents projets : Vuitton, Van Cleef & Arpels, Cartier, IGN, ECPAD/Armées, BNF, INA, Centre Pompidou, L’EQUIPE …


Je suis né en France. Je suis venu à la photographie après avoir étudié la Biologie et la Botanique.
J’expérimente la photographie sous toutes ses formes depuis cette époque. Je construis de nouvelles images qui interrogent le réel dans des mises en scène qui ne se donnent pas à voir. (chrisglaudel.com)
J’ai vécu à Berlin, au Maroc et à Arles. Ces lieux ont été de puissants catalyseurs d’envie et d’énergie dans ma pratique photographique.
Je vis et travaille actuellement à Paris. Et ailleurs.
Les cours que je dispense dans le cadre de la formation continue sont à destination des adultes.
Parmi mes récents clients dans le domaine de la photographie et la vidéo, on compte la Maison Goyard, L’Oréal Luxe, Casa de América – Madrid, La présidence de la République française, USM, Prestaliss, Le Groupe MARCK…
Je travaille principalement pour de grandes entreprises, des agences évènementielles et de communication.
Mes principaux clients sont: Edf, Sanofi, Ipsen, Agence Egg, Ramsay Générale de Santé, La Philarmonie de Paris,
La Société Générale.

Photographe, critique d’art, commissaire d’expositions et historien de la photographie, j’ai publié plusieurs livres sur la photographie dont, avec Jean-Marie Baldner, Les Pratiques pauvres, du sténopé au téléphone mobile, CNDP / CRDP Créteil, Isthmes éditions) (2005), et, avec Christian Gattinoni, La photographie ancienne / La photographie moderne / La photographie contemporaine aux nouvelles éditions Scala. Chez le même éditeur, je prépare actuellement avec Xavier Martel La photographie japonaise (parution courant 2014).
Après vingt ans de pratique argentique que je poursuis désormais grâce au film instantané Fuji Instax, j’explore aussi les nouveaux territoires artistiques que proposent les téléphones mobiles et les sténopés numériques.


“Vers une conscience du monde, c’est devenir pleinement spectateur de
la vie, sentir et ressentir le flux du temps, lire et vivre les scènes qui défilent
devant nous, contempler la beauté sans cesse en mouvement, en
construction et destruction. Jouir de toutes ces sensations puis figer ces
émotions en un seul clic…”
Frédéric Desmesure aime cette définition possible de sa pratique de photographe
qu’il applique à la fois dans sa production d’auteur (série: “Urbains
ordinaires”, dans différentes villes Européennes ou “And the wind
cries” à Hiroshima et Fukushima) mais aussi le plus souvent possible
dans les commandes pour la presse nationale, le domaine culturel ou la
photo d’architecture.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en
1991, promotion Charles Nègre (un photographe contemporain de Félix
Arnaudin), il est membre de l’agence Signatures à Paris. Il a participé a
divers résidences d’artistes : « Mécanismes pour une entente» projet Européen
en 2013, «Ecritures de Lumière»un projet de Crarc et du Frac en
2011/12 ou « Interférences Hongroises » en 2009, projet franco-hongrois.





