à venir
Camille Lorin est diplômée de l’école des beaux-arts de Marseille en 2002 et poursuit ses études à l’école nationale supérieure de la photographie d’Arles.
Elle obtient son diplôme en 2005 et part vivre une année au Canada où elle côtoie différents milieux artistiques.
Elle a exposé à la galerie Placido à Paris, à l’écume du jour à Beauvais, pour la nuit de l’instant à Marseille, à Arles, pour la manifestation Voir la nuit 2010, à l’Histoire de l’œil à Marseille.
Ses vidéos ont été présentées dans différents festivals en France, en Grèce et au Québec.
En 2007, Lucien Bertolina lui propose de travailler avec lui sur une installation, La sonorité d’un texte, pour la galerie Red District à Marseille.
En 2012, elle signe une vidéo pour le compositeur Frédéric Kahn sur sa pièce Geneigte Schatten.
En 2012-2013, elle est accueillie aux grands terrains à Marseille dans le cadre d’une résidence et présente deux installations pour les actes-en-silence en mai 2013 à la piscine Frais-Vallon, événement organisé par le labelm.
En 2014 elle expose au Château de Servières à Marseille.
Parallèlement, elle s’engage dans un travail de création vidéo avec différentes compagnies de théâtre, collectifs ou artistes.
En 2002, elle crée deux vidéos pour le collectif Phosphene.
Elle travaille régulièrement avec le collectif d’artistes le nomade village à Marseille tant sur leurs créations entre la France et l’Italie que sur les différents ateliers qu’ils mènent auprès des collèges.
Elle a également collaboré à plusieurs reprises avec le théâtre du Centaure, notamment sur les tournages de Flux à Marseille, en Camargue ou à Istanbul.
Elle a réalisé la création vidéo d’Hydrogen jukebox, un opéra de Philipp Glass mis en scène par Joël Jouanneau à Nantes en 2009.
Depuis 2009, elle travaille avec la compagnie Du zieu. Elle crée les vidéos de plusieurs spectacles : Victoria, dernière pièce de la trilogie Les Suppliantes, Révolution(s) dans le cadre d’un atelier dirigé par Nathalie Garraud au théâtre de l’Odéon à Paris, Notre jeunesse, qui a été créé à Marseille en janvier 2013 et dernièrement L’avantage du printemps, créé à Bagdad en novembre 2013. Elle a par ailleurs réalisé des films qui retracent le travail et les recherches de la compagnie pendant deux années.
Bio.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 1996, je partage mon temps entre le développement d’un travail artistique et des commandes institutionnelles. En 1998, une mission
du CNRS m’intègre aux recherches du Centre Franco Egyptien d’Etudes des Temples de Karnak. Depuis, en tant que photographe professionnel, j’ai a collaboré à de nombreux projets en lien avec le paysage et l’architecture. Avec le paysage, c’est à travers la mise en place d’observatoires photographiques, le dernier en date en partenariat avec le Parc naturel régional du Haut Languedoc. Pour l’architecture, les collaborations concernent des reportages, mais aussi des interventions au sein d’études, de réflexions éditoriales.
Une collaboration durable est également construite avec divers musées et lieux d’art contemporains. Prises de vues en photographie dite appliquée ou photographie de commande, commissariat d’exposition, conseil scientifique, expertise et numérisation de fonds patrimoniaux, interventions pédagogiques.
Habitant la région de Sète, mon travail de création est nourri par l’observation de la nature, l’architecture, le paysage.
Photographe, critique d’art, commissaire d’expositions et historien de la photographie, j’ai publié plusieurs livres sur la photographie dont, avec Jean-Marie Baldner, Les Pratiques pauvres, du sténopé au téléphone mobile, CNDP / CRDP Créteil, Isthmes éditions) (2005), et, avec Christian Gattinoni, La photographie ancienne / La photographie moderne / La photographie contemporaine aux nouvelles éditions Scala. Chez le même éditeur, je prépare actuellement avec Xavier Martel La photographie japonaise (parution courant 2014).
Après vingt ans de pratique argentique que je poursuis désormais grâce au film instantané Fuji Instax, j’explore aussi les nouveaux territoires artistiques que proposent les téléphones mobiles et les sténopés numériques.
Né en 1988. Steven Daniel est diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Photographie en 2014. Il effectue une résidence à l’International Center of Photography à New York en 2012. Il à été sélectionné par Olympus pour exposer dans le programme des Rencontres d’Arles 2014, une rencontre photographique avec Denis Rouvre.
On peut consulter ses réalisation sur : http://www.stevendaniel.fr
Née en 1987, à Décines (69), vit et travaille à Miramas (13)
Après avoir obtenu un Diplôme national d’arts plastiques en 2009 à l’École supérieure d’art et de design de Saint-Etienne, elle intègre l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2010 dont elle sort diplômée en 2013. Au cours de ce cursus, elle reçoit une bourse d’étude artistique qui lui permet d’effectuer une résidence à l’International center of photography de New-York en 2011. Elle engagera ensuite une « conversation photographique » avec Stanley Greene avec le soutien d’Olympus. Ce travail a été présenté aux Rencontres d’Arles 2013 tout comme la série Révolutions. Lauréate du Festival Manifesto 2013 à Toulouse (série Pour l’éternité) elle a également été finaliste du Prix SFR/Le Bal 2013. Ce début d’année 2014 est marqué par une première exposition personnelle en Bretagne et par une sélection du Festival Oblick -Dialogue de la jeune photographie internationale- qui présente à Strasbourg, la série Révolutions. Série qui vient d’être récompensée par le Prix Oblick qui lui a été décerné par Charles Fréger, Jürgen Klauke et Beat Streuli, lors du vernissage de l’exposition.
Je suis né en France. Je suis venu à la photographie après avoir étudié la Biologie et la Botanique.
J’expérimente la photographie sous toutes ses formes depuis cette époque. Je construis de nouvelles images qui interrogent le réel dans des mises en scène qui ne se donnent pas à voir. (chrisglaudel.com)
J’ai vécu à Berlin, au Maroc et à Arles. Ces lieux ont été de puissants catalyseurs d’envie et d’énergie dans ma pratique photographique.
Je vis et travaille actuellement à Paris. Et ailleurs.
Les cours que je dispense dans le cadre de la formation continue sont à destination des adultes.
Parmi mes récents clients dans le domaine de la photographie et la vidéo, on compte la Maison Goyard, L’Oréal Luxe, Casa de América – Madrid, La présidence de la République française, USM, Prestaliss, Le Groupe MARCK…
Née en 1986 à Paris,
Diplômée des Beaux Arts de Cergy Pontoise et de l’Ecole de Photographie d’Arles
Pigiste pour Tatouage Mag (conventions, portraits, Hellfest …)
Réalisations de portraits d’acteurs et réalisateurs de cinéma mais aussi de tatoués.
Photogrammètre réalisation de modèle 3D en corrélation dense.
pour voir le travail photographique avant 2010 : http://onotad.free.fr
professeur a l’ENSP, Arles, à partir du mois de mars 2017 ;-)
“Vers une conscience du monde, c’est devenir pleinement spectateur de
la vie, sentir et ressentir le flux du temps, lire et vivre les scènes qui défilent
devant nous, contempler la beauté sans cesse en mouvement, en
construction et destruction. Jouir de toutes ces sensations puis figer ces
émotions en un seul clic…”
Frédéric Desmesure aime cette définition possible de sa pratique de photographe
qu’il applique à la fois dans sa production d’auteur (série: “Urbains
ordinaires”, dans différentes villes Européennes ou “And the wind
cries” à Hiroshima et Fukushima) mais aussi le plus souvent possible
dans les commandes pour la presse nationale, le domaine culturel ou la
photo d’architecture.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en
1991, promotion Charles Nègre (un photographe contemporain de Félix
Arnaudin), il est membre de l’agence Signatures à Paris. Il a participé a
divers résidences d’artistes : « Mécanismes pour une entente» projet Européen
en 2013, «Ecritures de Lumière»un projet de Crarc et du Frac en
2011/12 ou « Interférences Hongroises » en 2009, projet franco-hongrois.