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Artiste visuelle,
vit et travaille à São Paulo, Brésil.
Fondatrice du projet de performance audiovisuelle The Smell Of Dust.
Née en 1979, Adeline Keil a grandi dans plusieurs régions de France.
Elle vit aujourd’hui entre l’Amérique Latine et la Normandie.
Elle est diplômée en 2004 de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.
Son Travail est présenté dans de nombreuses expositions au au sein de différents centres d’arts en France et à l’étranger.
En 2000, Elle reçoit le prix Ilford.
En 2004, Elle reçoit le prix Européen de la FNAC, suivi du Prix Gras-Savoie aux Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Elle est Soutenue à plusieurs reprise par l’institut Français et la DRAC de Basse – Normandie.
En parallèle de sa pratique artistique, elle enseigne à l’école Supérieure des Arts et médias de Caen ou elle occupe un poste d’enseignante chercheuse au sein du laboratoire de recherche « déplacer la terre / Un inventaire des bords ».
Le travail d’Adeline Keil revendique un lien fort avec la photographie documentaire, tout en s’inscrivant dans des protocoles qui s’en éloignent radicalement.
Elle s’attache aux traces d’un événement , à ce qui ne peut se saisir frontalement pour des raisons historiques ou autres, et dont elle capte les marques et les réverbérations dans le monde d’aujourd’hui : Les traces de l’aprés guerres en l’Ex-Yougoslavie, les femmes Mayas qui exercent le service sexuelle suite d’un génocide, la nudité qui se gère différemment d’un pays à un autre, l’ouverture du territoire de Cuba aux américains..
Elle travaille en immersion, sur de longues périodes allant de 3 mois à 1 an et demi sur place, afin d’acquérir une connaissance géopolitique, sociale et économique des territoires et lui permettant par la même de créer une relation intime avec les personnes qu’elle photographie. Elle continue de travailler en argentique.
Sa dernière recherche Life’s Bugs interroge et met en exergue notre rapport à la temporalité. Il questionne l’instantanéité du médium photographique, en utilisant les nouveaux outils de communication, elle donne à son travail un écho architectural.
Elle aborde ses sujets de manière indirecte, et les construit comme de véritables essais. Ils prennent place dans un projet général plus large, qu’elle nomme :
« Petits Désordres du Monde ».
Spécialisé dans la prise de vues de sites et bâtiments. Extérieurs et intérieurs. Inventaires du patrimoine. Reportages industriels.
Mise en place de bases d’images pour consultation et stockage en ligne.
Nombreuses références dans le domaine industriel.
J’aime la photographie dans tous ses états, photographier en argentique avec ou sans association du numérique, conserver et restaurer les photographies originales anciennes et contemporaines.
Je vis à la campagne et deviens nomade en fonction des contrats qui m’attendent.
Née en 1986 à Paris,
Diplômée des Beaux Arts de Cergy Pontoise et de l’Ecole de Photographie d’Arles
Vit et travaille à Alexandrie Égypte.
Diplômé en archéologie à l’université Paris I puis de l’ENSP en 2013
Assistant ingénieur du CNRS, responsable du service photographique du Centre d’Études Alexandrines-USR 3134.
JEAN M. BABONNEAU | BIOGRAPHIE
photographe I artiste vidéo I http://www.babonneau.com
Artiste franco-nordique né en 1971, Jean M. Babonneau a grandi au milieu de deux cultures du fait de l’expatriation de ses parents français en Allemagne dans les années 70. Revenu en France afin de poursuivre ses études, il bifurqua de ses études scientifiques afin d’entrer à l’école des Beaux-Arts de Nantes (DNAP) où il s’éprendra du potentiel créatif de la photographie. Il sera admis à l’école nationale supérieure de la photographie d’Arles dont il sortira diplômé en 1999. Pendant ses années d’études en Arles, le jeune photographe sera tireur dans la chambre noire de Lucien Clergue et réalisera des tirages d’exposition à partir des négatifs originaux figurant Pablo Picasso, Jean Cocteau et de nombreux nus du maître, co-fondateur des Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles.
Dès la fin de ses études en 1999, son goût pour l’exploration des cultures étrangères emmena Jean M. Babonneau à Reykjavík en Islande, où il commença sa carrière professionnelle en réalisant de nombreux portraits d’artistes et musiciens Islandais pendant plus de 3 années. Il y réalisa un prototype de livre photographique et des installations photographiques et vidéo. L’artiste est fasciné par les possibilités de narration immersive dans un espace rempli d’images et autres média.
Fin 2002, le photographe déménage à Copenhague, au Danemark, continuant ainsi son périple nordique. Il y est encore installé, partageant son temps entre projets d’art (photographie et installations vidéo), ateliers de photographie en tant qu’artiste intervenant et commandes photographiques pour la presse et d’autres clients. Régulièrement son travail inclut également direction artistique (graphisme et web), surtout lorsqu’il s’agit de créer des livres photographiques ou des couvertures d’albums musicaux. Depuis ses débuts professionnels, Jean M. Babonneau n’a jamais cessé de coopérer avec des musiciens en réalisant leurs portraits ou en développant des visuels originaux destinés à accompagner leurs créations musicales.
Depuis 2013, son exploration du Bélarus à travers des visites régulières dans le pays post-soviétique représente aujourd’hui un corpus important d’images qui sera le sujet d’un de ses prochains projets. Voici un reportage TV biélorusse de 2018 présentant JM Babonneau · https://www.youtube.com/watch?v=qEGGqbjnUsI
Plusieurs projets collaboratifs et monographiques sont en cours d’élaboration à cette date : des livres d’art et des expositions. Veuillez consulter son cv sur simple requête.
Le travail artistique de Jean M. Babonneau mélange volontiers les genres puisant tant dans le réel que dans l’imaginaire, avec un goût tout particulier pour les mises en scène nocturnes dans des lieux banals que la nuit, temps onirique, transfigure en espaces empreints d’un mystère éloquent. Ses photographies et installations vidéo tentent sou- vent de nous insuffler une certaine poésie afin de nous faire redécouvrir nos lieux communs, grâce à son œil d’étranger xénophile empli d’une curiosité insatiable. Outre ses images mises en scène, la photographie documentaire compose également une partie de son portfolio, en se consacrant notamment aux cultures nordiques. En 2018, l’artiste a atteint un jalon notable : il a passé la moitié de sa vie en Europe du Nord !
Site web : http://www.babonneau.com | E-mail : babonneau@gmail.com | Tel. +45 26 405 504
Camille Lorin est diplômée de l’école des beaux-arts de Marseille en 2002 et poursuit ses études à l’école nationale supérieure de la photographie d’Arles.
Elle obtient son diplôme en 2005 et part vivre une année au Canada où elle côtoie différents milieux artistiques.
Elle a exposé à la galerie Placido à Paris, à l’écume du jour à Beauvais, pour la nuit de l’instant à Marseille, à Arles, pour la manifestation Voir la nuit 2010, à l’Histoire de l’œil à Marseille.
Ses vidéos ont été présentées dans différents festivals en France, en Grèce et au Québec.
En 2007, Lucien Bertolina lui propose de travailler avec lui sur une installation, La sonorité d’un texte, pour la galerie Red District à Marseille.
En 2012, elle signe une vidéo pour le compositeur Frédéric Kahn sur sa pièce Geneigte Schatten.
En 2012-2013, elle est accueillie aux grands terrains à Marseille dans le cadre d’une résidence et présente deux installations pour les actes-en-silence en mai 2013 à la piscine Frais-Vallon, événement organisé par le labelm.
En 2014 elle expose au Château de Servières à Marseille.
Parallèlement, elle s’engage dans un travail de création vidéo avec différentes compagnies de théâtre, collectifs ou artistes.
En 2002, elle crée deux vidéos pour le collectif Phosphene.
Elle travaille régulièrement avec le collectif d’artistes le nomade village à Marseille tant sur leurs créations entre la France et l’Italie que sur les différents ateliers qu’ils mènent auprès des collèges.
Elle a également collaboré à plusieurs reprises avec le théâtre du Centaure, notamment sur les tournages de Flux à Marseille, en Camargue ou à Istanbul.
Elle a réalisé la création vidéo d’Hydrogen jukebox, un opéra de Philipp Glass mis en scène par Joël Jouanneau à Nantes en 2009.
Depuis 2009, elle travaille avec la compagnie Du zieu. Elle crée les vidéos de plusieurs spectacles : Victoria, dernière pièce de la trilogie Les Suppliantes, Révolution(s) dans le cadre d’un atelier dirigé par Nathalie Garraud au théâtre de l’Odéon à Paris, Notre jeunesse, qui a été créé à Marseille en janvier 2013 et dernièrement L’avantage du printemps, créé à Bagdad en novembre 2013. Elle a par ailleurs réalisé des films qui retracent le travail et les recherches de la compagnie pendant deux années.
Photographe diplômée de l’Ecole Nationale de la photographie d’Arles, Pauline Daniel a réalisé de nombreux documentaires d’auteur à l’étranger, répond en France à des commandes publiques et réalise régulièrement des portraits de territoire de différents Parcs Naturels.
La création d’un studio photographique lui permet de reprendre l’un de ses domaines d’expresssion privilégiées ; la photographie culinaire. Profondément imprégnée par ses études artistiques, elle s’empare du genre avec créativité et l’emmène parfois loin de ses codes figés par un certain académisme. Cette part créative l’’amène également à travailler pour des joailliers ou des designers qui cherchent à obtenir une image vivante et originale de leurs univers.
Elle est distribuée par le réseau Picture Tank dans la presse française et internationale et son travail artistique a fait l’objet de nombreuses publications
Bio.
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 1996, je partage mon temps entre le développement d’un travail artistique et des commandes institutionnelles. En 1998, une mission
du CNRS m’intègre aux recherches du Centre Franco Egyptien d’Etudes des Temples de Karnak. Depuis, en tant que photographe professionnel, j’ai a collaboré à de nombreux projets en lien avec le paysage et l’architecture. Avec le paysage, c’est à travers la mise en place d’observatoires photographiques, le dernier en date en partenariat avec le Parc naturel régional du Haut Languedoc. Pour l’architecture, les collaborations concernent des reportages, mais aussi des interventions au sein d’études, de réflexions éditoriales.
Une collaboration durable est également construite avec divers musées et lieux d’art contemporains. Prises de vues en photographie dite appliquée ou photographie de commande, commissariat d’exposition, conseil scientifique, expertise et numérisation de fonds patrimoniaux, interventions pédagogiques.
Habitant la région de Sète, mon travail de création est nourri par l’observation de la nature, l’architecture, le paysage.
Je suis photographe auteur travaillant à Paris.
Je m’occupe de photographie documentaire et reportage.
Je suis engagée dans la formation et je crée des modules d’approfondissement sur la photographie et la vidéo adaptés aux différents publics.
Diplômé d’architecture, Teddy Seguin se consacre à la photographie à la sortie de L’ENSP. Il réalise de nombreux reportages dans lesquels il explore de façon récurrente les univers clos et isolés, d’un navire de pêche en mer de Barents ou d’une mine d’uranium dans les steppes Kazakh. Ses sujets documentaires sont régulièrement publiés dans la presse nationale et internationale.
C’est en Corse où il a vécu plusieurs années qu’il observe la manière dont l’île peut façonner les tempéraments. Cet intérêt s’accroit lors de son séjour à Saint Pierre et Miquelon où sa recherche s’oriente sur l’insularité dans un territoire aux antipodes de l’île de beauté.
En Centrafrique, où il s’installe en 2006, ce questionnement se poursuit par ses reportages sur Les microcosmes des campements de chasseurs-cueilleurs pygmées en forêt équatoriale. Il y réalise également une commande pour le Monde Magazine sur les milices d’autodéfenses Peul dans le nord du pays.
A partir de 2010, il s’investie dans des séries personnelles sur l’insularité, qui devient le fil rouge de son travail avec le projet Insulae. Si les frontières qui séparent les “insulaires” du reste du monde se résorbent à l’ère du numérique, l’isolement qu’il soit géographique, social ou culturel façonne des caractères forts et singuliers sur lequel il s’attarde dans ces dernières séries comme Outport ou la Natividad. Insulae est un cycle en cours qui englobe ces différents travaux.
COLLECTIF : FAVRET-MANEZ
Je développe depuis une vingtaine d’années, avec Patrick Manez, une œuvre photographique sur l’espace public façonné par son histoire et ses usages.
Notre travail se déploie aussi bien sous forme d’expositions que de livres:
Alexandrie / Editions Hazan –
Rotterdam / Editions Anonymes –
Montreuil paysage public / Editions du Musée de l’Histoire vivante –
Les arpenteurs / Editions Loco / A paraître en septembre 2014 / Appel à participation, préachat :